Une semaine en Grand Est du 8 novembre

Bar-sur-Aube : des vélos ’’Fluo’’ en libre service directement en sortie de gare

C’est une première dans l’Aube : ce mercredi, une station de vélos "Fluo" a été inaugurée devant la gare de Bar-sur-Aube. Ce service vise à faciliter la mobilité depuis la gare et à proposer une solution pour parcourir « le dernier kilomètre ».

Cinq vélos à assistance électrique ont été installés. La ville de Bar-sur-Aube a été choisie suite à une consultation citoyenne. Le coût de l’utilisation : 6€ pour 14h ; 3€ pour les jeunes ou les voyageurs munis d’un abonnement SNCF. Ce service est proposé dans le cadre du plan vélo mis en place par la Région Grand Est.

Au total : 500 vélos électriques sont mis à disposition à travers la région Grand Est. Les prochaines gares auboises équipées de ce dispositif seront Romilly-sur-Seine, Nogent-sur-Seine et Troyes.

Stanislas fait par Cirtes dans les Vosges

Le sentier des lanternes s’apprête à illuminer Metz

Le sentier des lanternes revient cette année encore ! Au cœur du square Boufflers à Metz, le parcours féerique s’illuminera dès le 22 novembre. En coulisses, les équipes s’affairent depuis plusieurs semaines pour installer plus de 2 500 lanternes.

Depuis plus d’un mois, une dizaine de techniciens s’activent pour transformer le square Boufflers, à Metz, en véritable village enchanté. Au total, plus de 2 000 lanternes, 150 sapins et une quarantaine d’enceintes ont été implantés sur les 3 000 m² du parcours. Objectif : offrir au public une expérience immersive, entre féerie lumineuse et ambiance sonore. Pour cette 15? édition, le sentier des lanternes réserve également son lot de nouveautés. Quatorze créations inédites, encore tenues secrètes, viendront rejoindre le décor. Elles ne seront dévoilées qu’au moment de l’ouverture, une fois la nuit tombée.

Salon du Made in France : une vitrine essentielle pour la scierie Bézier

Cinq entreprises auboises participent cette semaine au salon du Made in France, organisé du 6 au 9 novembre, porte de Versailles à Paris. L’an passé, la 12? édition avait accueilli près de 110 000 visiteurs. Parmi les participants, la scierie Bézier, installée à Bouilly, depuis 1986 elle fabrique et commercialise en vente directe des parquets en chêne massif partout en France.

L’entreprise, qui participe pour la troisième année consécutive au salon, y voit un moment clé pour développer son activité et rencontrer une clientèle majoritairement parisienne. Aux côtés de la scierie, la Distillerie de Soligny, basée à Soligny-les-Étangs, présentera sa gamme de whiskys élaborés à partir de l’orge cultivée sur l’exploitation.

Le fabricant Tismail, implanté à Troyes, mettra en avant sa marque La Chaussette de France. Dans le Village de l’Artisanat, la Chambre de Métiers de l’Aube accompagne deux créatrices troyennes : "Firenze et Rose Perle" qui conçoit des bijoux à base de perles de culture et "Belle Effrontée" qui upcycle d’anciennes pièces de francs pour en faire des bracelets, des colliers et des boucles d’oreilles.

A Borny-Metz : Journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire

À l’occasion de la Journée nationale « Non au harcèlement », ce jeudi, le collège Paul Valéry de Borny a organisé une intervention de la Brigadier-Chef Aurélie Stcherbinine, officier de prévention. Cette rencontre s’inscrit dans une démarche de sensibilisation menée tout au long de l’année auprès des jeunes élèves.

Depuis 2021, l’établissement participe au programme « Phare » (Programme de lutte contre le harcèlement à l’école). Ce dispositif national a pour objectif de prévenir et repérer les situations de harcèlement tout en favorisant la prise de parole des élèves. À Borny, plus de 150 élève de sixième âgés d’environ 11 ans sont ainsi impliqués dans divers ateliers et projets pédagogiques.
Les séances proposées encouragent les élèves à mieux comprendre les mécanismes du harcèlement et à adopter des comportements respectueux.
Pour le Brigadier-Chef Aurélie Stcherbinine, la prévention ne doit pas se limiter à une seule journée : « En matière de harcèlement, il faut sensibiliser tout au long de l’année. Les jeunes doivent savoir qu’ils ne sont jamais seuls et qu’ils peuvent parler. »