Territoires d’industrie : un label pour l’avenir

Publié le Vendredi 26 Avril 2024

Ce mercredi 24 avril, les représentants du label « Territoires d’industrie » des trois vallées de Bruyères, Gérardmer et Saint-Dié-des-Vosges étaient réunis à Numalliance (Saint-Michel-sur-Meurthe) pour présenter le projet. Voici le communiqué de presse :

Mis en place par l’État, « Territoires d’industrie » regroupe, à l’échelle locale, la communauté d’agglomération de Saint-Dié-des-Vosges, la communauté de communes de Bruyères Vallons des Vosges et la communauté de communes de Gérardmer Hautes-Vosges. Les entreprises Établissements Gaiffe, Garnier-Thiébaut et Numalliance s’associent au pilotage du programme.

Aux côtés du président de la communauté d’agglomération Claude George se trouvaient notamment la sous-préfète Carole Dabrigeon, le 4e vice-président de l’Agglomération déodatienne Benoit Pierrat, le 1er vice-président de la communauté de communes Bruyères-Vallons des Vosges Michel Houot et le 6e vice-président de la communauté de communes de Gérardmer Hautes-Vosges Eric Tisserant (Gérardmer Hautes-Vosges).

Pour les accompagner, étaient également présents les représentants industriels Yves Gaiffe (Etablissements Gaiffe), Paul de Montclos (Garnier-Thiébaut) et Marion Etienne (Numalliance).

Effective entre 2023 et 2027, la labellisation permet de répondre aux besoins exprimés par les industriels en valorisant les entreprises, en soutenant le développement et l’implantation d’entreprises ou en créant les conditions nécessaires à l’expérimentation et à l’innovation.

Le plan d’actions se décline en quatre axes :

      • Faire des territoires des écosystèmes d’innovation ambitieux ;
      • Lever les freins au recrutement et développer les compétences dans des territoires industriels attractifs ;
      • Accélérer la transition écologique et énergétique ;
      • Mobiliser un foncier industriel adapté aux enjeux et besoins des industriels comme des collectivités.

« Être labellisé est une opportunité pour nos territoires, c’est un vrai challenge », a notamment affirmé Claude George. « Le label va permettre de faire réseau entre les industriels, les politiques et l’État. Les industriels vont pouvoir nous apporter leurs besoins ».

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